On est dans la boulangerie mais le bruit intempestif du frigo prend trop de place alors tous à la caserne ! Damien a tellement foulé ce trajet, qu’il part en chausson. Jean-Louis, Damien et Régis :
– Jean-Louis : Je leur passe la main, là tout doucement.
– Damien : D’abord salarié sur l’entreprise individuel de mon père et maintenant on reprend en cogérance avec mon frère.
– Régis : Je suis le livreur.
– Damien : Oui, fin tu fais toute la gestion des ventes, de l’épicerie
– Régis : Oui, en fait c’est pâtissier, boulanger et livreur (en montrant Jean-Louis, puis Damien)
– Damien : Non, épicier, on peut dire que t’es l’épicier…
– Régis : En fait pendant dix ans j’étais DJ, et puis bascule totale, une place plus stable : en tant que DJ c’était la vie inversée. Puis la succession s’est faite et avec la remise aux normes, il fallait qu’il y ait un changement.
Présentation faite. Et alors un commerce dans ce village? « On est la troisième génération de boulanger. Tous les commerces marchent ensemble. C’est un château de cartes, on en retire une : Quelqu’un qui va chez le médecin, il y a une pharmacie, il va peut-être prendre ces médicaments, dans la boulangerie son journal et son pain et puis il va aller lire son journal à la Feuillade avec son café. On enlève le médecin… » Encore un jeu dangereux, un château de cartes ne se quittent pas des yeux, comme le Fallois qui roussit dans le four ! « Et si Faux la Montagne, était une recette de cuisine? »