Mise au point de la circulation des accessoires tout au long d’Aimer si fort (2))

Chihuahua ! OK ! Céline est-ce que t’as besoin qu’on t’apporte des accessoires ? Clem et Sophia vont t’aider ! Le micro, c’est le micro que Simon n’aime pas qu’on prenne ! Je pars avec mon sang et mon blaireau ! C’est là où Christophe intervient ! Je rentre derrière et après je laisse les deux serpierres au fond ! Textes deux, je ne sors pas ! Sur le chemin je pose le micro ! Mike Brant, on est autonome ! On a besoin de gants de toilette pour se doucher ! Une fois que le sang colle, ça part mal ! Ciseaux, scotch, papier bulle et sang ! Je n’aurai pas oublier mon H.F ! En suite Paulina, Lola ! C’est assez speed ! Sur la danse Lento, j’ai toujours le H.F mais c’est pas grave ! C’est Camille et Mathilde qui tiennent les micros ! Quand y a Feder 2, danse en talons, on se dit quelle brique on prend ! J’ai 42 ans, je suis autonome ! Normalement y a une bonnette sur le micro pour le protéger de l’argile ! A ce moment là, c’est ma deuxième douche du spectacle ! Je rentre avec le pull et le micro ! La musique part sur Alice ! On charge les flingues et toi, tu prépares le sang ! Ça s’est réglé ! Angélica Liddell ! Hier j’avais réussi à foutre les chaussures au bon endroit !

Une réflexion sur « Mise au point de la circulation des accessoires tout au long d’Aimer si fort (2)) »

  1. Là c’est l’heure de la pause pour vous. J’imagine la longue table, les conversations, la fatigue. Hier j’y étais et je faisais connaissance. ça fait une semaine que je travaille avec Aimer si fort. Pour être juste ça fait une semaine que ça me travaille Aimer si fort. J’écris la description du spectacle, j’écris un texte qui se tricote avec le texte, dans les silences, dans la musique, dans la vie de ce qui se passe sur scène, là où ça peut entrer et ne pas empiéter. Décrire c’est un peu le même procédé que la teinture par épuisement : l’absorption du colorant par la matière et qui aboutit à la fixation. Mais avec la restitution en plus. Quand je vous croise au théâtre maintenant j’ai l’impression d’une intimité, parce que j’ai passé quelques heures déjà avec vos visages, vos voix, vos souffles à la vidéo, ça crée sûrement un décalage dans le rapport parce que vous, vous ne me connaissez qu’en passante. Aujourd’hui je ne vous rejoins pas, je reste à écrire. Là au milieu des cartons de mon emménagement récent après un divorce, après une séparation. Evidemment ça n’est pas aussi énorme que ce qu’elle raconte Angélica, mais comme dit Marion chacun a ses limites. A l’hippodrome de Douai je n’y avais pas mis les pieds depuis 20 ans. C’est là que j’ai vu les spectacles qui ont forgé mes goûts de spectatrice et plus sûrement plus. C’était important pour moi, de retour dans les parages, de faire ma première audiodescription là. C’est grâce à Pierre Laly que ça a lieu. Alors merci Pierre. Et puis à Gilbert Pouille et Guy Alloucherie qui ont accueilli le projet. j’étais impressionnée de savoir que j’allais travailler sur un projet de Guy parce que son Electre d’il y a 20 ans, elle m’avait beaucoup beaucoup travaillée aussi. Alors merci Guy, merci Gilbert. Merci Martine pour les vidéos et le matériel, merci Jerémie pour être venu t’asseoir à côté de moi parce que c’est impressionnant d’arriver et de trouver une place. Aussi, merci à la technique pour l’installation rapide du matériel. Allez, j’y retourne, je vous salue. A lundi !

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