se trouver

Faut absolument être prêt pour Québec. Pour la conférence.  On part dimanche soir. Parler de ce qu’on fait si loin d’ici. Faut que les gens s’y retrouvent. Etre concis et clair. Emmener des vidéos et des photos. Bien expliquer pourquoi un jour on s’est mis à faire des spectacles avec les personnes, dans les quartiers, les villages, les écoles. Ce n’est pas pure opportunité. C’est un long cheminement. Revenir là-dessus pour que les gens comprennent bien. Faudrait que ce soit comme un spectacle. Il ne faut que les gens s’ennuient. Il ne faut pas que je vienne de si loin pour ennuyer les gens. Faut que j’aie le texte précis de mon intervention mais je dois rester libre de le lire ou de ne pas le lire.  Faut que je puisse régulièrement envoyer des photos de mon ordinateur pour bien situer le 11/19. Que les gens aient une idée précise de ce que c’est. De là où on travaille. Me permettre des digressions mais pas trop pour ne pas me perdre. Tenir deux heures trente.

Lucien Suel l’auteur de Blanche Etincelle, un livre magnifique et magnifique de tendresse a eu la gentillesse de nous faire part de cette adresse internet où l’on parle de la brique à St Nazaire avec un commentaire de Lucien et un autre de Martine Sonnet (atelier 62) :

http://auteurlecteurs.canalblog.com/archives/2013/09/09/27985664.html

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