Filage. Ça marche. C’est pas encore fluide mais ça marche. Faut encore réajuster. A l’oreillette c’est quelque chose, on fait encore des dérapages. On a ajouté des anecdotes de savoir chaud qui renvoie aux savoirs froid de chacun. Celle de l’homme qui disait que l’art contemporain, c’est vraiment nous prendre pour des cons, hein, et puis l’histoire de la fois où les danseurs, de nuit, ont dansé dans un lieu magnifique, industriel friche et que c’est au cours de la douce danse de l’adage qu’ils se sont rendu compte que le sol était recouvert d’excréments et qu’ils étaient en train de danser dans un lieu qui servait de toilettes aux gitans qui vivaient juste à côté. Et puis l’anecdote des majorettes les atomics, qui nous ont inspiré le titre du spectacle, qui faisaient du drapeau et du fusil.
Il est déjà 13h30 et on va aller manger, et puis c’est le week-end. On se retrouve lundi pour la dernière ligne droite la dernière semaine.