Toujours rue de Dahomey, nous avons passé un long moment avec Mme Boudet et son amoureux. On parle des atouts d’habiter dans cette rue, de certains défauts aussi (ici, certain.e.s personnes utilisent les bords de route comme des décharges) mais surtout, on parle de la vue sur les terrils.
Mme Boudet est une « fana » des terrils, la dernière fois qu’ils sont partis en vacances elle a commencé à ressentir un manque au quatrième jour. « Pourtant, nous avions pris quinze jours de congé. » Heureusement, les vacances ont été sauvées par la rencontre de Dunkerquois avec qui ils ont pu faire la fête comme dans le Nord.
Mme Boudet ne se dit pas artiste mais la vue des terrils lui inspire des photos, elle nous a confié quelques-unes de celles-ci : un coucher de soleil irradiant les deux bosses, et un point de vue dans lequel elle voit apparaître la silhouette d’une femme.