L’âme raisonnable (…) atteint sa fin propre à quelque endroit que se place le terme de sa vie. Ce n’est pas comme dans la danse ou le théâtre et les autres arts de ce genre, dans lesquels l’action totale est inachevée, si quelque chose vient les interrompre. Mais l’action de l’âme raisonnable, en chacune de ses parties, à quelque point qu’on la prenne, réalise pour soi d’une manière pleine et sans défaut, ce qu’elle projetait, en sorte qu’elle peut dire : j’ai atteint mon achèvement.