On a regardé longtemps la carrière en bas du plateau des terrils. En pleine activité. C’est fascinant, ces machines qui engloutissent la terre et la recrachent. Les tas de terre, de roche. Et puis la couleur rouge rouge extraite du noir terril. Et la lenteur, et le bruit. Et vu de là haut, du bord du plateau, c’est très beau. On est resté un moment en se disant qu’on pourrait rester là encore longtemps, à regarder de là haut, ce fourmillement qui ronge la montagne.