Douai, Angelica Liddell, Aire sur la Lys

Tout s’est bien passé à Douai. A la salle OB. Du monde plein la salle. Dans la matinée, on a rempli le formulaire pour la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) dans l’idée du renouvellement de convention. On a parlé de projets. Le temps avance. Et on ne peut rien y faire ou ça se saurait. Toujours est il qu’hier matin avec Gilbert, on semblait n’en rien savoir. Il est question qu’on joue Aimer si fort… au théâtre Arc en Ciel de Liévin, la saison prochaine. Pour la compagnie, c’est le retour aux sources. Jack Lang nous avait installés là, avec le Ballatum Théâtre, au début des années 90, en accord avec le maire de l’époque, Jean Pierre Kucheida. C’est le saumon qui remonte la rivière. A contre courant. Le poisson qui va jusqu’au bout de ses forces. La rivière, c’est sa Maison de la Force. Quand Angelica Lidell sur son tapis de course court jusqu’à perdre haleine (en écoutant Bach et en pleurant ). L’eau salée des larmes, c’est la mer et la rivière, le tapis de course. Une passacaille, deux passacaille, trois passacailles. Et si Angelica Liddell, c’était… Vendredi on démarre le Portrait d’Aire sur la Lys, la Belle du Pas de Calais.

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