On aurait bien besoin d’un GPS par voiture dans la compagnie, on sillonne tellement la région, que se serait pas fou d’investir.
Même avec un GPS, on a réussi à dériver, et on se retrouve près de Wattrelos, qui est en fait bien à côté de Forest sur Marque.
On pense au lycée à Martine B qui nous avait écrit un texte magnifique sur le coeur.
On a rendez vous à Pochéco.
On va découvrir l’univers de l’entreprise, on se dit avec les camarades que ça on l’avait pas encore essayé.
On est très bien reçu dès le portail par deux messieurs qui nous aident à téléguider un veilleur perdu. On est très vite dans le bain.
Dans la rue, c’est bizarre d’imaginer que dans cette jolie cité une entreprise est installée. Et en fait elle se fond dans le paysage.
Quand on entre il y a une belle bambouseraie, plantée depuis mai ils sont déjà d’un mètre environ. Ils aident à filtrer l’eau et à la rendre propre à la rivière. On a eu besoin des explications claires et complètes d’Elodie pour comprendre comment ça marche, on a pas l’habitude nous.
Une entreprise familiale. Après deux cafés, on se met en route, des interviews sont déjà calées, et il faut essayer de rencontrer les travailleurs du matin. L’entreprise fonctionne 24h sur 24, 7 jours sur 7. Ils pratiquent donc les trois 8. Il nous faut donc essayer de rencontrer tous ceux du matin avant 13h que la relève arrive. Avec Camille on entame les portraits chinois. Si Pochéco était un prénom ? un film ? une chanson ?
On rencontre Daniel qui est dans l’entreprise depuis 33 ans depuis avant que Pochéco soit Pochéco, on lui demande s’il souhaite être interviewé,
Non non je ne saurais pas quoi dire !
Mais vous avez connu tous les changements de l’entreprise, vous pourriez nous raconter !
Daniel connait tout le monde, et on arrête pas de le croiser. Pour le prénom il me dit : Manu
Je dis pourquoi Manu ? Bin Emmanuel le directeur , il faut dire qu’il le connait depuis qu’il est tout jeune, puisque l’entreprise avant d’appartenir à Emmanuel Druon, était à son père.
Je recroise le sauveur de ce matin (celui qui sait la route…) j’en profite pour lui poser la question, si Pocheco était une chanson ? La lettre à Elise me dit – il. Je dois avoir l’air de ne pas comprendre, car il ajoute, la lettre … à Pochéco on fait des enveloppes … ah oui.