La Sentinelle pour Jeanne-Marie, c’est son enfance, ses racines…
Elle a de superbes souvenirs d’enfance ici, des amis, sa famille.
Elle y a aussi des coups durs, sa vie de femme, pas facile: le travail, ses 42h30 par semaine, les enfants qu’on veut amener vers un avenir heureux, se battre pour cela toute sa vie, mettre ses rêves à soi de côté.
Puis on prend de l’âge, les enfants partent et Jeanne-Marie a ressorti ses rêves de son tiroir. Elle a refait une licence à 57 ans, elle re-tapisse toute sa maison avec des couleurs modernes, elle veut partir en Italie pour aller vers ses autres racines car son père était italien.
Alors vieillir à la Sentinelle pour elle, finalement, c’est repartir vers ses rêves et la paix nous dit-elle!