Nous sommes passés par le coron carré, par le coron Desmezières, par la cité Ernest, par la voie de tramway, etc. Elles nous ont dit leurs souvenirs, leurs visions de la ville, les commerces qui existaient dans les années 70, la marchande de clous, la vingtaine de cafés qui faisaient vivre la ville au rythme des invitations à boire un coup, les kermesses de 4 jours, les grandes tablées avec tout le village, le terril de la réussite et le terril Berdouille…
Des petits mots de patois aussi: « R’garde moi cha, on diro un fouan » quand Mme DeCecco revenait avec ses habits sales à la maison après avoir joué dehors.