Dans la cour baignée de soleil, une invitation à la danse, pas besoin de parler… « Je danse et tiens si tu venais toi aussi ? Et pourquoi pas toi ? Et tiens, toi là-bas qui regarde tes pieds ? » (Tout ça avec le regard, les yeux d’Hervé). Un cercle s’est formé encore un peu large mais ça se resserre, ça se retient encore un peu, ça traverse sans s’arrêter, ça ose pas s’approcher de peur d’être dans le champ de la caméra. Et puis en voilà un qui lâche et sans musique il bouge, HIP et HOP, « pas besoin de musique sens de l’intérieur ou si tu veux, je te tape un rythme » ça c’est à l’adresse des filles qui n’osent pas. Et puis un autre se lâche avec musique interne provenant des écouteurs, ça commence à chauffer dans la cour baignée de soleil.