Edwin voulait voir d’autres façons de travailler, des manières coopératives de s’investir, voir comment porter les choses ensemble. Il nous raconte qu’avec un patron qui dirige, on n’a plus la liberté de vraiment montrer ses acquis profondément. Il voulait travailler avec des gens de façon coopérative. Par hasard, il a rencontré les gens d’Ambiance Bois au Cameroun qui lui ont parlé de leur fonctionnement en « société anonyme à participation ouvrière ». Il était prêt à tout découvrir, à se confronter avec la vie. Venant de la partie anglophone du Cameroun, il a appris le français à Faux. 14 ans après son arrivée, il est toujours là. On dit dans le village que les 200 habitations de Faux sont toujours ouvertes pour Edwin ! Il aide les pompiers, participe à Télé Millevaches. Florence, sa femme participe aussi à la vie associative et fait des plats africains pour le festival « Folie ! Les mots ». Il a passé plus de temps à Faux-la-Montagne que dans son village natal !