Aujourd’hui reprise de la danse collective. Pas de préambule avec Angélica .Tout de suite dans le vif du sujet .Démarrer par le corps. Bien sur compter : et un, et deux, et trois, et quatre, et cinq,et six ,et sept , et huit mais aussi garder une nature brutale ,bestiale . Ne pas travailler autour d’un processus intellectuel rester nature et en même temps se laisser travailler par le texte ,par la douleur, la provocation .On a commencé à le faire en demandant a chacun des interprètes de commenter un morceau du texte en relation avec sa vie personnelle .Ne pas séparer l’art de la vie . Et aujourd’hui on a déjà tous changé, les corps sont déjà plus nerveux ,plus fébriles ,plus affutés .
« Parler de l’homme c’est mettre les mains dans le cambouis, c’est presque se corrompre soi-même pour aller plus loin et toujours plus loin » A. Lidell en interview.
Jusqu’où aller ? Peut-être commencer par aller trop loin.