Ouf ! On a pu jouer La Brique hier malgré les intempéries. Et ça s’est bien passé. On fait du mieux qu’on peut. A 15h et à 20h et on remet ça aujourd’hui. Quand on est rentré dans la nuit, les routes étaient complètement dégagées. Donc pas de problèmes ! Aujourd’hui, ça devrait rouler correctement ! La nuit était claire, les étoiles étaient tombées sur la terre. On a cherché un titre à la forme qu’on va présenter en fin d’année. Aimer si fort pour mourir si seuls ! On a cherché tous azimuts. Dans quelques jours, on part à Rexpoede. Du côté de Bergues pour un Portrait de Village avec le Bateau Feu de Dunkerque. Après l’hôpital de Lens et La brique, on enchaîne par un autre portrait. J’ai toujours en tête la phrase de Didier (du groupe des Veilleurs). C’est maintenant que ça se passe ! Comme celle de Nietszche, débarrasser du poids du passé et des illusions de l’avenir, se retrouver dans l’éternité du présent. Plus de plans sur la comète ou de châteaux en Espagne ! Ça suffit ! Ça fait trop mal ! C’est maintenant que ça se passe ! Il arrive que le coucou suisse se dérègle. A Lausanne, à La Panne comme à Loos en Gohelle. Ou à St Nazaire et Quend Plage. Ou au Tréport. On perd la notion du temps lorsqu’on marche longtemps et ne compte plus que l’instant présent.