Pour rajouter à ce qu’on a dit à l’article précédent. Pour dire vraiment ce qui s’est passé. C’est Didier qui en plein dérushage a bondi de sa chaise pour aller voir les jeunes qui étaient devant notre local (à la salle Dubois de la cité 5) et leur dire si vous voulez on fait du théâtre. Et dix minutes après tout le monde est installé dans la salle et Martine filme et chacun donne la réplique à Didier. (Qui c’est qui y a dit que l’art c’était pas accessible ou je ne sais quoi, c’est bien parce que ça arrange les dominants ça consciemment ou inconsciemment, non le problème est pas là comme diraient ceux qui croient plus à l’éducation populaire par la libération populaire ou la libération populaire par l’éducation populaire). Tandis que les autres parcourent la ville, en dansant, à l’affut des images, des spots qui vont illuminer Loos en Gohelle (elle sont belles les montagnes qui ont poussé par ici) et que je reste vissé à mon blog.
Bien joué Didier !
Comme quoi, effectivement, si on se donne la peine d’aller parler aux gens, il n’est plus du tout inaccessible, cet art…
Par contre, attention, parce que tout ça ressemble à un rassemblement de plus de deux personnes se livrant à des activités non productives, et que c’est interdit depuis le premier janvier !
(ah non, c’est vrai, pour le moment c’est juste interdit de fumer – j’ai un peu d’avance).