On a bien marché. D’un bout à l’autre. De la maison de l’emploi au restaurant universitaire jusqu’à l’école Centrale et puis la médiathèque. En face de la médiathèque au milieu du quartier on a dansé dans le square. Et distribué des tracts à l’infini. On a visité des ateliers de l’école centrale et discuté avec un chercheur, M. Petiot. En quête d’une bouche artificielle pour trompette et trombone. C’est un enseignant chercheur qui s’est intéressé au problème acoustique parce que ça lui vient de son goût pour la musique. Il est responsable du big band de l’université de Nantes. Le bâtiment qui se situe au centre de l’école est magnifique. La cafétéria est toute blanche et les sièges sont de toutes les couleurs. M.Petiot cherche des procédures et puis d’autres personnes fabriquent ses inventions. Les grandes écoles d’ingénieurs sont des écoles publiques parce qu’elles sont associées à la recherche. Leurs recherches peuvent cependant correspondre à des demandes privées. La bouche virtuelle pour clarinette, trompette et trombone est une boîte qui permet de produire un même son, une même note à l’infini et d’étudier la réaction de l’instrument. L’école a beaucoup de liens avec un service de recherche du Mans spécialisé dans l’acoustique. On a mis des tracts dans toutes les boîtes aux lettres des tours au Chêne des Anglais. On a rencontré plein de gens et prévu de revoir un groupe de jeunes qui veulent bien se prêter au jeu de l’interview.