Quand Martine B. a parlé de nos interventions à un de ses élèves, il lui a dit qu’il voulait bien nous rencontrer et faire des choses, justement parce qu’il ne connaissait pas. Il a dit quelque chose comme : oui, je veux bien parce que je ne connais pas.
On pense à une phrase de Picabia, une phrase qui était écrite sur tableau étrange et assez incompréhensible. Il y a écrit donc, sur ce tableau : Pour que vous aimiez quelque chose, il faut que vous l’ayez vu ou entendu cent fois, tas d’idiots.
Ce qu’a dit cet élève dément exactement ce que dit Picabia. Ouf.