Demain entre en scène le lycée Mendes France avec qui on fera la série des questions réponses et En attendant Godot. On est très vigilant, ne pas réaliser un film-spectacle qui serait trop long. Ne pas dépasser trente cinq minutes. On a beaucoup de matière. On a beaucoup filmé mais les actions de stop motion comme les variations surréalistes ou les souvenirs, les objets, les dessins collectifs des lycées, sont des successions courtes de quelques images. On a tourné dans beaucoup plus de classes que lors de nos derniers instantanés qui ont eu lieu dans l’agglomération dunkerquoise. Il faut qu’on garde notre fil narratif, le rapport des lycéens à leur territoire et à la culture. Il faut que ce travail fasse sens et donne du sens. Il faut que ce travail mette en valeur les lycéens et soit positif. On a encore beaucoup à faire puisqu’il faut finaliser les montages et organiser les différentes séries de photos en stop motion. Et écrire tous ces textes explicatifs sur nos nouvelles actions… Il faut que les gens comprennent ce pourquoi on fait ce qu’on fait, sinon c’est peine perdue.