Retour sur/Instantanés Lycées Dunkerque/Grande Synthe

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Merci à tous de nous avoir permis de faire ce travail-là. Merci aux trois lycées et au Bateau Feu. On n’a qu’une seule envie. Revenir à Dunkerque le plus vite possible! On regrette de ne pas avoir vu l’exposition au musée de la Marine des bateaux de Frédéric Lejunter. On a eu la chance hier de le rencontrer (retrouver) au restaurant des Lucioles après qu’on ait plié bagages et quitté la salle de la Concorde de Petite Synthe. On est bien content d’avoir pu y jouer et faire jouer les lycéens et les professeurs. Et des spectateurs du public. Le bouche à oreille a bien fonctionné. Hier soir nous avions le triple de spectateurs de la veille. Ça fait toujours bizarre quand tout s’arrête. Après trois jours de rencontres multiples, après les Instantanés, c’est pas facile de se dire que là, maintenant, tout est vraiment fini. Mais on va faire autre chose. Et on reviendra à Dunkerque.

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Protocoles photos avec accessoires, sur plateau noir.
A peine le temps d’expliquer la règle du jeux qu’ils étaient déjà tous déguisés, accessoirisés. Prêts à être photographiés.
On enchaîne vite les ateliers parce qu’on a décidé de ne faire qu’un groupe et de faire les quatre ateliers au lieu de trois.
Jérémie leur propose de choisir une œuvre du Louvre et de la refaire sur le plateau. Il en fait une animation courte, en trois photos, immobiles, qui donne un effet syncopé, comme une respiration. Comme si le tableau respirait. Louis XIV, par exemple, est très drôle, avec son manche à balais en guise de canne. C’est Arnaldo.
Ensuite, on sépare profs et élèves. Un groupe chez Hervé, pour faire de l’aérobic réinventé, avec des ballons. Et un groupe chez Didier pour un moment de rêves dansants.
Et puis tous autour des porteurs de paroles avant le spectacle.