et voilà

Et voilà. Le principe de l’instantané, c’est que ça passe à toute vitesse. C’est parfois très frustrant, on remballe tout quand quelque chose a vraiment commencé à germer. On a l’impression que la rencontre a eu lieu, on voudrait s’asseoir sur un banc et discuter, continuer à parler de ci, de ça.
Après les représentation, les élèves de 2BPHE(a) nous ont donné une lettre adorable, qui remercie, qui dit vous allez nous manquer, on a bien rigolé, c’est à refaire…
Ce n’est que partie remise, on se voit au grand bleu les 12-13-14 avril, avec les autres lycées, pour des ateliers, des spectacles, et prolonger encore ces beaux moments.
En tous cas encore et encore merci pour l’accueil, la vivacité, la gentillesse et l’intelligence de tous. Un vrai plaisir.
Merci merci merci.

hop, c'est parti

Première représentation ce matin. On enchaîne sur la suite, seconde représentation à 11h05.
Ça s’est très bien passé et les lecteurs découvrent le trac et ses tentatives de remèdes, encore que, on le sait, on ne peut jamais y remédier complètement.
Public enthousiaste et à l’écoute. Bons retours. Et des sourires à la sortie. On est toujours dans la salle du fond, derrière et on entend les classes arriver pour la suite. La classe de Ludwig. 1ère el. Cris et applaudissements. Hop, c’est parti.

comme une cerise

Laura
Marie
Priscilia
Amandine
Céline
Ludwig
Pauline
Merci aux lecteurs. Deux premiers filages. Répétitions de bout en bout, avec danses, lectures, images et sons. Il y a des bugs par ci par là mais ce sera rattrapé très vite.
C’est toujours un moment d’émotion de découvrir les images, de revoir sur l’écran les visage qu’on a vus dans la cour, dans les couloirs et dans les classes. Un sentiment un peu nostalgique avant l’heure. La séquence des prénoms, à la fin, sur une belle musique montante, c’est toujours comme une cerise sur le gâteau.

Jamel et les BEP

Dans la cour du lycée désert de midi, il y a Ophélie et ses copines. On discute un peu. Promis je mettrai des photos de vous sur le blog. Promenade dans les ateliers déserts. Chaudronnerie et electricité. Une pensée pour Jamel qui nous parlait avec ironie des BEP et CAP qu’on réserve aux gens des quartiers, avec la difficulté de suivre une filière générale quand on est issu de l’immigration comme on dit. Il disait en riant, BEP chaudronnerie, BEP feux rouges. On a gardé ce passage d’interview pour notre spectacle des Atomics. On a revu Jamel, et on va bientôt travailler avec lui pour les portraits de village. Bref, tout ça pour dire que dans cet atelier désert, il y a un feu rouge.