Le dimanche matin, ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour faire du porte-à-porte. On décide de laisser les gens dormir (d’autant qu’hier soir c’était les 50 ans de l’Ikastola) et on part là où personne n’a dormi depuis 21 ans. Personne d’humain, ce sont la végétation et les poneys du centre équestre qui ont repeuplé l’ancien village-vacances.
Le dimanche matin, les poneys non plus n’ont pas envie de coopérer.