Il est un air pour qui je donnerais tout Rossini, tout Mozart et tout Weber

Il y a quelques années nous entamions un résidence à Dunkerque, au long cours, qui devait durer à peu près trois ans. A l’époque de la rénovation du Bateau Feu, le grand théâtre de la ville. Trois années durant, des compagnies d’ici et d’ailleurs sont intervenues sur toute l’agglomération dunkerquoise. De Leffrincoucke à Grand Fort Philippe, en passant pat Rexpoede et Mardyck. Nous sommes allés à la rencontre des gens et nous avons construit ensemble des spectacles des films, des formes originales dont les valeurs étaient de rendre compte de l’infinie richesse de nos constructions individuelles et collectives. Aujourd’hui le temps a passé et nous n’allons plus à Dunkerque même si nous avons gardé des liens très forts avec le Bateau Feu.

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