Une autre journée de travail avec les Turbulents. Didier avait préparé quelques scènes, à monter comme un possible début. Ça démarre bien. Il faut poursuivre. Grosse panique ce soir, puisque Didier a égaré son cahier de notes sur le chemin du retour. On a fait le tour des possibilités et il nous est apparu qu’on devait téléphoner au café où on s’est arrêté prendre un rafraichissement. Coup de chance, le cahier est bien là-bas. Une angoisse de moins pour la soirée. Ça rassure et ça soulage. On peut continuer la route, en rêvant des montages sur les traces (écrites) de tout ce qui s’est passé depuis le début. Ouf !