Je passe une bonne partie de mes journées à regarder ce que Didier, Philippe et les Turbulents ont inventé durant les trois semaines de recherche qu’ils ont menée à Paris ces deux derniers mois. Didier a tout filmé. Ça représente plus d’une quinzaines d’heure de film. C’est comme si j’y étais. J’essaye de classer les séquences en fonction du mode d’improvisation. Cirque, danse, musique, théâtre et masques. La musique est très présente et peut être, devrait-on faire un cabaret- concert rassemblant des interventions de tout le monde. Les Turbulents d’abord et tous ceux qui travaillent avec eux. Tout cela me fait beaucoup gamberger. On verra cela de plus près, dès lundi. Je suis persuadé qu’on doit fouiller davantage l’aspect poético-littéraire et chaotique. En lien avec la musique.