Quand on est fatigué à ce point (on est pas égaux devant la nature, la souffrance, la maladie, la fatigue…) comme Guy l’est (guiliguili), une petite douleur devient insupportable. En reprenant le train pour rentrer de Fleury, Guy s’est cogné l’épaule contre une porte en prenant le train à la dernière seconde (mal lui en prit de s’endormir à une terrasse de café devant un thé vert (pour faire baisser son cholestérol)). Plus le TGV prenait de la vitesse, plus la douleur augmentait. Un médecin de garde et quelques antalgiques (de plus) et du sommeil, du sommeil, du sommeil, en attendant d’aller faire quelques images de l’épaule chez le radiologue et déjà ce matin la douleur reprend. Demain on prend l’avion pour la Brique à la Durance (près de Marseille), pas question d’arriver en retard et de s’accrocher aux roues de l’avion, l’épaule ne tiendrait pas. Il faut choisir entre se reposer et être libre. Qui c’est qui a dit ça ?