la Redoute, on n’a pas fini d’en parler.

Paris aller-retour en une demie journée. En trois quarts de journée. Rendez vous au Terminus Nord avec des journalistes. Revenir sur La Redoute. Dans le détail. Pourquoi les enfants dans le spectacle ? D’où vient cette volonté de travailler sur la culture ouvrière ? Pourquoi les Tréteaux de France ? On discute, on échange, on voudrait avoir réponse à tout. On n’a pas tout conscientiser pourtant on voudrait pouvoir si ce n’est démontrer, argumenter. Et surtout dire et redire combien on se sent proche de toutes celles et ceux qui travaillent ou ont travaillé à la Redoute. Dire et redire que le spectacle final, c’est important mais les quinze jours qu’on a passés sur place, à travailler avec les ouvriers de la Redoute, c’est plus important que tout. Que ce sont des rencontre primordiales, qui créent de l’émulation, de l’élévation, de l’individuation, et qu’on ressort de là en se disant qu’on ne verra plus jamais le monde de la même manière… Dire que c’est un peu de tout ça qu’on voudrait qu’on ressente après le film-spectacle  qu’on soit d’ici ou d’ailleurs…

Une réflexion sur « la Redoute, on n’a pas fini d’en parler. »

  1. je voulais dire quelquechose en lisant ça,et puis c’est parti en fumée…
    Parceque c’est comme ça ce qu’on fait……j’aime les journalistes,les philosophes,les sociologues,les politiques ,les érudits,les professeurs,mais j’aime encore plus les gens qui font que ceux suscités existent…et merde…le boulot d’HVDZ est important..il importe et exporte l’idée que la culture est humaine et vitale….c’est un commerce mes gens, que dis je une industrie, la seule qui soit sans danger pour la planète…ce commerce est Redoutable qu.on se le dise…la Culture est Ouvrière!!!!! Des bisous.

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