Geneviève-2 novembre 2014

Je croise le regard de Maryse et là je me dis, il est temps…. d’écrire, afin de m’offrir un petit moment d’introspection et partager avec celui qui me lit mes expériences, mes impressions et mes sensations d’hier et d’aujourd’hui. Il est 11h15, dimanche le 2 novembre, et je constate le sourire timide d’un enfant à qui je propose de danser une valse, pendant que mes collègues tourbillonnent avec les sortants de la messe. Un moment magique à lui apprendre les pas en trois temps, sur le parvis de l’église Courville. J’accoste quelques passants à qui rapidement j’offre une invitation pour les représentations des Veillées, en fin de semaine prochaine. Nous marchons et rencontrons un papa, entouré de ses quatre enfants, à qui nous proposons la danse de salon. Pour un instant, cinq paires d’yeux nous fixent et s’abandonnent dans notre danse rigolote. Je ferme pendant quelques instants les yeux, afin de mieux apprécier. Sur quelques mètres, nous frappons à la porte des maisons, pour offrir une danse, notre cadeau du dimanche. On essuie des refus, mais à chaque fois, la même impression dans le regard des passants : J’y vois une lueur d’enfance.

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